Jusqu'à présent, le plugin utilisait le moteur Rhino, écrit en java. Bien que SpiderMonkey soit plus performant, il n'était pas évident de l'utiliser pour lancer JSLint. Et puis je suis tombé sur un petit tuto qui explique comment contourner la difficulté.
JSValidator peut donc maintenant s'appyuer sur les deux moteurs javascript pour lancer la validation de fichiers dans Gedit. Si les deux moteurs sont présents, SpiderMonkey sera privilégié.
Pour ce qui est de l'outline, j'y reviendrai dans quelques jours.
projet.gedit-jsvalidator